L'ASA Villeurbanne et Bilel Ben Yahia sont à quatre-vingt dix minutes d'un retour en ligue.
Bilel, dimanche c’est la finale du championnat contre le Feyzin CBE. Comment vous abordez ce match au sommet ?
"C'est clairement une finale. Mais on se doit de proposer un contenu cohérent à notre ambition, à l'image de celui de nos dernières rencontres. Pour le coach, la direction du club, les supporters et tous les bénévoles. On aborde ce rendez-vous sereinement, sans se mettre de pression particulière. On a fait le boulot depuis dix-huit journées pour en arriver là. Il ne faut donc pas que l'enjeu prenne le pas sur le jeu. On aura quatre-vingt dix minutes à jouer pour faire la différence et aller chercher cette montée en R3 qui nous tend les bras."
A l’aller, vous vous étiez inclinés au stade Mokrane. La leçon a-t-elle été retenue ? Sur quoi se jouera ce match ?
"Effectivement, ça avait été un match difficile pour nous, parce que nous n'avions pas réussi à trouver la faille face à une bonne défense de Feyzin. Mais on a retenu la leçon de ce match qui fut très physique avec un adversaire qui en voulait plus que nous ce jour-là. Comme toute finale, cette rencontre se jouera évidemment à l'envie. Il faudra aussi être patient, rigoureux et concentré pendant deux fois quarante-cinq minutes, en tirant tous dans le même sens, pour aller chercher la victoire."
En cas de victoire, l’ASA Villeurbanne sera officiellement de retour en ligue après une longue période de disette. Ca t’inspire quoi de pouvoir rentrer dans l’histoire de ce club un an seulement après ton arrivée ?
"Sur le plan personnel, après trois ans d'arrêt, je cherchais un club familial pour reprendre du plaisir. J'ai trouvé à l'ASA un groupe de qualité avec des personnes formidables, tant sur le plan humain que sur le plan sportif. Tout ce que je recherchais en fait. Ce club doit revenir en Ligue et s'y pérenniser parce qu'il le mérite de part son passé et l'engouement qu'il suscite, mais aussi pour toutes les personnes qui travaillent quotidiennement pour le faire avancer. A titre personnel, ça serait une grande fierté de contribuer à sa remontée dès l'année de mon arrivée. On est quatre-vingt dix minutes d'une belle histoire."
Recueillis par Bebeto RODRIGUEZ
"C'est clairement une finale. Mais on se doit de proposer un contenu cohérent à notre ambition, à l'image de celui de nos dernières rencontres. Pour le coach, la direction du club, les supporters et tous les bénévoles. On aborde ce rendez-vous sereinement, sans se mettre de pression particulière. On a fait le boulot depuis dix-huit journées pour en arriver là. Il ne faut donc pas que l'enjeu prenne le pas sur le jeu. On aura quatre-vingt dix minutes à jouer pour faire la différence et aller chercher cette montée en R3 qui nous tend les bras."
A l’aller, vous vous étiez inclinés au stade Mokrane. La leçon a-t-elle été retenue ? Sur quoi se jouera ce match ?
"Effectivement, ça avait été un match difficile pour nous, parce que nous n'avions pas réussi à trouver la faille face à une bonne défense de Feyzin. Mais on a retenu la leçon de ce match qui fut très physique avec un adversaire qui en voulait plus que nous ce jour-là. Comme toute finale, cette rencontre se jouera évidemment à l'envie. Il faudra aussi être patient, rigoureux et concentré pendant deux fois quarante-cinq minutes, en tirant tous dans le même sens, pour aller chercher la victoire."
En cas de victoire, l’ASA Villeurbanne sera officiellement de retour en ligue après une longue période de disette. Ca t’inspire quoi de pouvoir rentrer dans l’histoire de ce club un an seulement après ton arrivée ?
"Sur le plan personnel, après trois ans d'arrêt, je cherchais un club familial pour reprendre du plaisir. J'ai trouvé à l'ASA un groupe de qualité avec des personnes formidables, tant sur le plan humain que sur le plan sportif. Tout ce que je recherchais en fait. Ce club doit revenir en Ligue et s'y pérenniser parce qu'il le mérite de part son passé et l'engouement qu'il suscite, mais aussi pour toutes les personnes qui travaillent quotidiennement pour le faire avancer. A titre personnel, ça serait une grande fierté de contribuer à sa remontée dès l'année de mon arrivée. On est quatre-vingt dix minutes d'une belle histoire."
Recueillis par Bebeto RODRIGUEZ
La question Sport-Protech.com
COMMENT GERES TU TA FIN DE SAISON QUAND CA DEVIENT PLUS COMPLIQUE PHYSIQUEMENT ?
"Je pense que chaque joueur a son rituel et connaît son corps. Moi, à l'approche d'un match, c'est pâtes. Pour la récupération, et je prend un bain froid. Et je bois beaucoup d'eau. Après, la semaine, je gère mes séances et mon corps en fonction de l'état de mon état de fatigue. ."
>> VOIR LES PRÉCONISATIONS DE SPORT-PROTECH.COM POUR FINIR LA SAISON SUR LES CHAPEAUX DE ROUE...
"Je pense que chaque joueur a son rituel et connaît son corps. Moi, à l'approche d'un match, c'est pâtes. Pour la récupération, et je prend un bain froid. Et je bois beaucoup d'eau. Après, la semaine, je gère mes séances et mon corps en fonction de l'état de mon état de fatigue. ."
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Bilel BEN YAHIA
Né le 18/09/1993 à Lyon 2ème
Job : Conseiller Bancaire
Parcours joueur : AS Montchat, FC Vaulx, AS Lyon Duchere, AS Saint Priest, EAV Futsal ,AS Algérienne
Né le 18/09/1993 à Lyon 2ème
Job : Conseiller Bancaire
Parcours joueur : AS Montchat, FC Vaulx, AS Lyon Duchere, AS Saint Priest, EAV Futsal ,AS Algérienne
Classement D1 - Poule B
