Qui pour succéder au Paris FC, vainqueur 2018 de la Sun Set Soccer Cup ?
On va se régaler… La Sun Set Soccer Cup U9, c’est dans deux jours !
Depuis quatre ans, Anthony Esparza et Willy Babot ont pris bonne habitude de réunir quelques fleurons du football régional et hexagonal, avec un zest de local, pour leur Sun Set Soccer Cup, événement unique dans l’hexagone à destination des U9.
Et la cinquième édition, qui se disputera samedi, à partir de 9 heures, ne dérogera pas à la règle avec un plateau à la fois prestigieux et hétéroclite.
Coté clubs professionnels, on retrouvera l’OL, évidement, mais aussi le Montpellier HSC, l’OM, l’AS Saint-Etienne ou le Paris FC. Rien que ça.
Mais le nom, aussi prestigieux soit-il, est loin d’être un garantie de succès, encore plus dans les petites catégories. Les « cadors » devront donc se méfier de leurs homologues de l’élite régional que sont le FC Villefranche, l’AS Saint-Priest, le Vénissieux FC, le FC Lyon, de l’O. Valence, voire des Franciliens de l’US Torcy, club majeur de la région parisienne.
A moins que, comme en 2017, une académie locale ne vienne damer le pion à tout ce beau monde, à l’image de celle de Mehamha en 2017.
Réponse samedi après-midi, sous les yeux d’un parrain nommé Rayan Cherki.
>> REVOIR L'INTERVIEW D'ANTHONY ESPARZA...
Depuis quatre ans, Anthony Esparza et Willy Babot ont pris bonne habitude de réunir quelques fleurons du football régional et hexagonal, avec un zest de local, pour leur Sun Set Soccer Cup, événement unique dans l’hexagone à destination des U9.
Et la cinquième édition, qui se disputera samedi, à partir de 9 heures, ne dérogera pas à la règle avec un plateau à la fois prestigieux et hétéroclite.
Coté clubs professionnels, on retrouvera l’OL, évidement, mais aussi le Montpellier HSC, l’OM, l’AS Saint-Etienne ou le Paris FC. Rien que ça.
Mais le nom, aussi prestigieux soit-il, est loin d’être un garantie de succès, encore plus dans les petites catégories. Les « cadors » devront donc se méfier de leurs homologues de l’élite régional que sont le FC Villefranche, l’AS Saint-Priest, le Vénissieux FC, le FC Lyon, de l’O. Valence, voire des Franciliens de l’US Torcy, club majeur de la région parisienne.
A moins que, comme en 2017, une académie locale ne vienne damer le pion à tout ce beau monde, à l’image de celle de Mehamha en 2017.
Réponse samedi après-midi, sous les yeux d’un parrain nommé Rayan Cherki.
>> REVOIR L'INTERVIEW D'ANTHONY ESPARZA...
