Entre blessures et maladies, la réserve du FC Villefranche se trouva fort dépourvue samedi soir au moment d'aligner onze noms sur la feuille de match de la rencontre de R2 contre son homologue du FC Annecy.
Il n'en fallait pas plus pour décider le coach, Yoann Vivier (35 ans)... de se titulariser dans la cage cinq ans après sa dernière prestation sous les couleurs du FC Limonest-Saint-Didier.
Résultat : 1-1 et des regrets pour l'entraîneur-gardien, ex pensionnaire du centre de formation de l'AS Monaco quand même : "Physiquement, ça a été. Je reste quand même en activité au quotidien avec les gardiens, même si je suis bien courbaturé aujourd'hui (ndlr dimanche matin) a réagi Yoann Vivier. Après, forcément je n'ai plus les mêmes jambes. On essaie de compenser avec l expérience. C'est surtout les repères qui sont durs à retrouver, la position dans le but, la gestion de la profondeur, les prises d'infos sur le jeu au pied... Sur le but encaissé, cinq ans en arrière, je ne le prends pas ! J'y vais un peu à l intox car je vois l'attaquant qui prend l'info pour centrer. Mais j'ouvre trop mon angle, et après, je me couche comme un papy. C'est dommage car mis à part des interventions sur coups de pieds arrêtés, je n'ai guère été sollicité. Et rentré à un-zéro à la pause aurait sans doute changé la physionomie du match."
Il n'en fallait pas plus pour décider le coach, Yoann Vivier (35 ans)... de se titulariser dans la cage cinq ans après sa dernière prestation sous les couleurs du FC Limonest-Saint-Didier.
Résultat : 1-1 et des regrets pour l'entraîneur-gardien, ex pensionnaire du centre de formation de l'AS Monaco quand même : "Physiquement, ça a été. Je reste quand même en activité au quotidien avec les gardiens, même si je suis bien courbaturé aujourd'hui (ndlr dimanche matin) a réagi Yoann Vivier. Après, forcément je n'ai plus les mêmes jambes. On essaie de compenser avec l expérience. C'est surtout les repères qui sont durs à retrouver, la position dans le but, la gestion de la profondeur, les prises d'infos sur le jeu au pied... Sur le but encaissé, cinq ans en arrière, je ne le prends pas ! J'y vais un peu à l intox car je vois l'attaquant qui prend l'info pour centrer. Mais j'ouvre trop mon angle, et après, je me couche comme un papy. C'est dommage car mis à part des interventions sur coups de pieds arrêtés, je n'ai guère été sollicité. Et rentré à un-zéro à la pause aurait sans doute changé la physionomie du match."