Nico et... Paolo Angiratos
Nicolas, tu deviens quoi ?
Je suis actuellement à la recherche d’un emploi en tant que magasinier. En attendant, je m’occupe de mon petit dernier qui raffole de foot à la télé, sur PS3 ou dans les stades, comme son père et son grand-père avant moi. Le foot, c’est de famille chez les Angiratos !
Les dimanches après-midis, tu regardes Drucker sur France2 ?
Ah non… Drucker ca n’est pas pour moi. Les dimanches après-midis, c’est plutôt BeIn-Sports si on est à la maison ou un bon match sur les terrains amateurs, de préférence le Maccabi pour voir les anciens, même s’il n’en reste plus beaucoup !
Qui revois-tu le plus régulièrement de tes anciens potes du foot ?
Je revois de temps en temps les anciens des Minguettes et ceux du Maccabi. Particulièrement Lotfi Jeridi que je passe voir au Flunch de Villeurbanne, ou il travaille. Sans oublier mon ami Oualid Lajmi que j’ai souvent au téléphone.
Ton plus beau souvenir ?
La finale de coupe du Rhône gagnée avec l’AS Minguettes contre la Duchère. Il y avait tout le quartier derrière nous ce jour-là. Un autre souvenir, ma deuxième coupe départementale remportée avec Chazay contre Manissieux.
Je suis actuellement à la recherche d’un emploi en tant que magasinier. En attendant, je m’occupe de mon petit dernier qui raffole de foot à la télé, sur PS3 ou dans les stades, comme son père et son grand-père avant moi. Le foot, c’est de famille chez les Angiratos !
Les dimanches après-midis, tu regardes Drucker sur France2 ?
Ah non… Drucker ca n’est pas pour moi. Les dimanches après-midis, c’est plutôt BeIn-Sports si on est à la maison ou un bon match sur les terrains amateurs, de préférence le Maccabi pour voir les anciens, même s’il n’en reste plus beaucoup !
Qui revois-tu le plus régulièrement de tes anciens potes du foot ?
Je revois de temps en temps les anciens des Minguettes et ceux du Maccabi. Particulièrement Lotfi Jeridi que je passe voir au Flunch de Villeurbanne, ou il travaille. Sans oublier mon ami Oualid Lajmi que j’ai souvent au téléphone.
Ton plus beau souvenir ?
La finale de coupe du Rhône gagnée avec l’AS Minguettes contre la Duchère. Il y avait tout le quartier derrière nous ce jour-là. Un autre souvenir, ma deuxième coupe départementale remportée avec Chazay contre Manissieux.
CHAUD AVEC DOUDOU DIALLO ET PATRICE OUAZAR...
Le plus mauvais ?
Pas un mauvais souvenir mais un regret... Celui de ne plus partager des moments forts du foot avec mon père, « le Grec » des Minguettes, qui est décédé il y a quatre ans des suites d’une longue maladie.
Un adversaire que tu n'aimais pas affronter ?
Il y en avait deux : Doudou Diallo du FC Vaulx et Patrice Ouazar de l’AS Minguettes. Ils étaient chiants, ça tenait les maillots, les shorts… Mais ça n’était pas méchant car c’étaient des mecs avec une bonne mentalité au final.
Un coéquipier que t’as vraiment fait rêver ?
Il y en a un qui était vraiment un phénomène… Lotfi Jeridi. Il avait une main à la place du pied. Quel régal d’avoir pu jouer avec ce grand monsieur du football. Je referais volontiers l'histoire avec l’équipe du Maccabi qu’on avait en Honneur.
Tu tapes le ballon de temps en temps encore ?
Oui, toujours, avec mon petit dernier Paolo (4 ans). Il n’arrête pas de jouer, 24 heures sur 24 ! C’est de la balle quand il a le maillot de Ronaldo sur lui… il s’y croit vraiment !
Tu reviens quand dans le vrai ballon, celui des clubs et des matchs les dimanches ?
Tu sais, ça me démange énormément quand je vais aux matchs. Voir les autres courir me donne envie de reprendre. Je ne désespère pas, ça viendra tout seul si ça doit se faire.
Pas un mauvais souvenir mais un regret... Celui de ne plus partager des moments forts du foot avec mon père, « le Grec » des Minguettes, qui est décédé il y a quatre ans des suites d’une longue maladie.
Un adversaire que tu n'aimais pas affronter ?
Il y en avait deux : Doudou Diallo du FC Vaulx et Patrice Ouazar de l’AS Minguettes. Ils étaient chiants, ça tenait les maillots, les shorts… Mais ça n’était pas méchant car c’étaient des mecs avec une bonne mentalité au final.
Un coéquipier que t’as vraiment fait rêver ?
Il y en a un qui était vraiment un phénomène… Lotfi Jeridi. Il avait une main à la place du pied. Quel régal d’avoir pu jouer avec ce grand monsieur du football. Je referais volontiers l'histoire avec l’équipe du Maccabi qu’on avait en Honneur.
Tu tapes le ballon de temps en temps encore ?
Oui, toujours, avec mon petit dernier Paolo (4 ans). Il n’arrête pas de jouer, 24 heures sur 24 ! C’est de la balle quand il a le maillot de Ronaldo sur lui… il s’y croit vraiment !
Tu reviens quand dans le vrai ballon, celui des clubs et des matchs les dimanches ?
Tu sais, ça me démange énormément quand je vais aux matchs. Voir les autres courir me donne envie de reprendre. Je ne désespère pas, ça viendra tout seul si ça doit se faire.
Nicolas ANGIRATOS
Né le 18/10/1972 à Vénissieux
Situation familiale : concubinage, 3 enfants : Caliopi et Giovanni (6 ans, faux jumeaux) et Paolo (4ans)
Situation professionnelle : en recherche d’emploi de magasinier
Parcours : AS Minguettes, OL, AS Saint-Priest, AS Minguettes, SC Maccabi de Villeurbanne, CASCOL, CS Chazay SC Maccabi de Villeurbanne
Né le 18/10/1972 à Vénissieux
Situation familiale : concubinage, 3 enfants : Caliopi et Giovanni (6 ans, faux jumeaux) et Paolo (4ans)
Situation professionnelle : en recherche d’emploi de magasinier
Parcours : AS Minguettes, OL, AS Saint-Priest, AS Minguettes, SC Maccabi de Villeurbanne, CASCOL, CS Chazay SC Maccabi de Villeurbanne
Avec les cadets de l'OL
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