C’est déjà fini entre Salim Chebaïki et l’Olympique de Vaulx.
Arrivée en décembre en remplacement de Saad Khalfaoui, l’ex-Caluirard a décidé de jeter l’éponge après seulement six matchs sur le banc (3 victoires, 2 nuls et 1 défaite).
Officiellement pour des raisons de santé, mais aussi : « parce que je ne peux pas entraîner des fantômes qui ne sont là que les dimanches. Les joueurs ont trop de mauvaises habitudes ici, notamment de ne pas s’entraîner. J’ai quelques problèmes de santé en ce moment et je préfère m’occuper de moi plutôt que de me faire mal à la tête avec des jeunes qui ne savent pas tenir leur parole. Ça n’est pas ma manière de fonctionner, encore moins de travailler. »
Nous ne connaissons pas le troisième entraîneur de l’Olympique de Vaulx à l’heure ou nous publions ces lignes…
B.R.
Arrivée en décembre en remplacement de Saad Khalfaoui, l’ex-Caluirard a décidé de jeter l’éponge après seulement six matchs sur le banc (3 victoires, 2 nuls et 1 défaite).
Officiellement pour des raisons de santé, mais aussi : « parce que je ne peux pas entraîner des fantômes qui ne sont là que les dimanches. Les joueurs ont trop de mauvaises habitudes ici, notamment de ne pas s’entraîner. J’ai quelques problèmes de santé en ce moment et je préfère m’occuper de moi plutôt que de me faire mal à la tête avec des jeunes qui ne savent pas tenir leur parole. Ça n’est pas ma manière de fonctionner, encore moins de travailler. »
Nous ne connaissons pas le troisième entraîneur de l’Olympique de Vaulx à l’heure ou nous publions ces lignes…
B.R.
