Jocelyn FONTANEL (président MDA Chasselay)
« Les faits sont là. On fait un mauvais début de saison sur le plan comptable. Pourtant, au niveau du jeu, on a fait trois matchs cohérents et… trois matchs décevants en étant décisifs ni défensivement ni offensivement. Mais on a le potentiel pour s’en sortir si le groupe donne le meilleur de lui-même. La saison est encore longue et je compte sur la coupe de France dans l’immédiat pour nous donner une bouffée d’oxygène fédératrice, même si on s’attend à un match compliqué à Valence. Nous sommes un club atypique mais soudé. On va s’en sortir ensemble, pour ceux qui en ont envie bien évidemment et surtout, qui en ont les moyens. J’ai toute confiance en Eric Guichard, en son staff et en son groupe pour trouver les bonnes solutions et les ressorts nécessaires. Quelque soient les niveaux ou l’on évolue, il y a une constante, les duels. Ceux qui les gagnent mettent toutes les chances de leur côté. Encore faut-il le vouloir… et pouvoir. C’est la compétition et elle est impitoyable. Mais c’est pour ça qu’on l’aime aussi ! Sinon, comme disait mon premier entraîneur à Chasselay, Canzio Capaldini, on a qu’à faire du loisir. Vive le football ! »
« Les faits sont là. On fait un mauvais début de saison sur le plan comptable. Pourtant, au niveau du jeu, on a fait trois matchs cohérents et… trois matchs décevants en étant décisifs ni défensivement ni offensivement. Mais on a le potentiel pour s’en sortir si le groupe donne le meilleur de lui-même. La saison est encore longue et je compte sur la coupe de France dans l’immédiat pour nous donner une bouffée d’oxygène fédératrice, même si on s’attend à un match compliqué à Valence. Nous sommes un club atypique mais soudé. On va s’en sortir ensemble, pour ceux qui en ont envie bien évidemment et surtout, qui en ont les moyens. J’ai toute confiance en Eric Guichard, en son staff et en son groupe pour trouver les bonnes solutions et les ressorts nécessaires. Quelque soient les niveaux ou l’on évolue, il y a une constante, les duels. Ceux qui les gagnent mettent toutes les chances de leur côté. Encore faut-il le vouloir… et pouvoir. C’est la compétition et elle est impitoyable. Mais c’est pour ça qu’on l’aime aussi ! Sinon, comme disait mon premier entraîneur à Chasselay, Canzio Capaldini, on a qu’à faire du loisir. Vive le football ! »