Mohamed Tria était l'invité cette semaine de Gérard Angel dans l'émission les Coulisses du Grand Lyon.
Et le président de Lyon-Duchère AS en a profité pour pousser deux coups de gueule. Le premier au sujet des emplois aidés : "Mon club n'est pas qu'un club de football. C'est d'abord le premier acteur social du quartier de la Duchère. Les emplois aidés au sein du club c'est quasiment une quinzaine de personnes, donc c'est très structurant. J'ai trouvé regrettable que, en plein été, sans coup de semonce, on en décrète la suppression. J'ai notamment été scandalisé par la brutalité avec laquelle cela s'est fait."
Le deuxième a concerné le positionnement de son club de Lyon-Duchère AS au sein de la ville de Lyon et la possibilité d'avoir un second club professionnel de football. "Si Lyon veut être une grande métropole européenne, l'égal de Londres, de Munich, de Turin ou de Milan, qui ont tous deux clubs professionnels, je ne vois pas pourquoi cette réalité-là ne se mettrait pas en place à Lyon, a déclaré Mohamed Tria. Ça ne coute pas si cher que cela. Je suis optimiste, et inquiet à la fois puisque cette suppression des emplois aidés me met en grande difficulté."
Et le président de Lyon-Duchère AS en a profité pour pousser deux coups de gueule. Le premier au sujet des emplois aidés : "Mon club n'est pas qu'un club de football. C'est d'abord le premier acteur social du quartier de la Duchère. Les emplois aidés au sein du club c'est quasiment une quinzaine de personnes, donc c'est très structurant. J'ai trouvé regrettable que, en plein été, sans coup de semonce, on en décrète la suppression. J'ai notamment été scandalisé par la brutalité avec laquelle cela s'est fait."
Le deuxième a concerné le positionnement de son club de Lyon-Duchère AS au sein de la ville de Lyon et la possibilité d'avoir un second club professionnel de football. "Si Lyon veut être une grande métropole européenne, l'égal de Londres, de Munich, de Turin ou de Milan, qui ont tous deux clubs professionnels, je ne vois pas pourquoi cette réalité-là ne se mettrait pas en place à Lyon, a déclaré Mohamed Tria. Ça ne coute pas si cher que cela. Je suis optimiste, et inquiet à la fois puisque cette suppression des emplois aidés me met en grande difficulté."