Certes les joueurs du FC Villefranche sont des professionnels habitués aux longs déplacements. Mais quand même.
Faire deux allers-retours en banlieue grenobloise le même week-end, soit six cent kilomètres ou grosso-modo sept heures de route, les hommes d’Alain Pochat y sont probablement moins habitués.
C’est pourtant ce qui leur est arrivé avec leur rencontre du sixième tour de la Coupe de France reporté samedi soir en raison des intempéries, reportée à dimanche après-midi.
Heureusement, la qualification a été au bout du –long- chemin.
Faire deux allers-retours en banlieue grenobloise le même week-end, soit six cent kilomètres ou grosso-modo sept heures de route, les hommes d’Alain Pochat y sont probablement moins habitués.
C’est pourtant ce qui leur est arrivé avec leur rencontre du sixième tour de la Coupe de France reporté samedi soir en raison des intempéries, reportée à dimanche après-midi.
Heureusement, la qualification a été au bout du –long- chemin.