A 35 ans et pour sa première expérience de coach, Romain Reynaud monte en N3.
Romain, ça a été quoi le sentiment coup de sifflet finale de la rencontre contre le FBBP01 dimanche et pourquoi ?
"Le sentiment qui prédominait après la rencontre était la joie bien sûr. Je pense que tout le monde voulait cette victoire et la délivrance au coup de sifflet final vécue comme un soulagement. On savait qu’on avait atteint notre objectif de monter et les joueurs étaient fiers de ça."
Comment s’est déroulé ce match ou vous avez souffert avant d'arracher la victoire sur le fil ?
"Il a été dur car forcément, quand on joue un match comme ça, il y a une certaine pression qui s’installe. On est aussi tombé sur une très belle équipe de Bourg. Ça a été un vrai match de football et on a eu ce petit truc en plus en marquant sur la fin du match. Ca été le scénario rêvé."
C’était quoi le mot d’ordre avant la rencontre ?
"Le mot d’ordre était la confiance. Les joueurs savaient ce qu’ils avaient à faire. Dans le match, ça a été plus compliqué. De ce point de vu, le nul aurait aussi été une bonne opération. Mais je pense que les joueurs voulaient plier la saison dimanche."
Tu es arrivé en cours de saison un peu à la surprise générale. Qu’est-ce qui t’as décidé à prendre la suite de Fred Marcon au pied levé en novembre ?
"J’étais encore joueur à Andrézieux-Bouthéon et le président Lacand m’a appelé pour me présenter le projet Hauts-Lyonnais. C’était couillu de sa part de mettre un novice sur le banc. Il m’avait donné deux jours de réflexion. Mais j’ai immédiatement su que j’allais dire oui. J’ai toujours voulu faire ça. C’était le bon moment au bon endroit."
"Le sentiment qui prédominait après la rencontre était la joie bien sûr. Je pense que tout le monde voulait cette victoire et la délivrance au coup de sifflet final vécue comme un soulagement. On savait qu’on avait atteint notre objectif de monter et les joueurs étaient fiers de ça."
Comment s’est déroulé ce match ou vous avez souffert avant d'arracher la victoire sur le fil ?
"Il a été dur car forcément, quand on joue un match comme ça, il y a une certaine pression qui s’installe. On est aussi tombé sur une très belle équipe de Bourg. Ça a été un vrai match de football et on a eu ce petit truc en plus en marquant sur la fin du match. Ca été le scénario rêvé."
C’était quoi le mot d’ordre avant la rencontre ?
"Le mot d’ordre était la confiance. Les joueurs savaient ce qu’ils avaient à faire. Dans le match, ça a été plus compliqué. De ce point de vu, le nul aurait aussi été une bonne opération. Mais je pense que les joueurs voulaient plier la saison dimanche."
Tu es arrivé en cours de saison un peu à la surprise générale. Qu’est-ce qui t’as décidé à prendre la suite de Fred Marcon au pied levé en novembre ?
"J’étais encore joueur à Andrézieux-Bouthéon et le président Lacand m’a appelé pour me présenter le projet Hauts-Lyonnais. C’était couillu de sa part de mettre un novice sur le banc. Il m’avait donné deux jours de réflexion. Mais j’ai immédiatement su que j’allais dire oui. J’ai toujours voulu faire ça. C’était le bon moment au bon endroit."
« Pas la meilleure équipe, mais le meilleur groupe… »
La force d'un groupe
Et alors, au dela de la montée, quel bilan fais-tu de cette première expérience comme coach ?
"Le bilan est forcément positif. Je me suis juste rendu compte que c’était différent de l’autre côté de la barrière. Chose dont je ne me rendais pas forcément compte quand j’étais joueur. J’ai aussi demandé conseil à pas mal de gens. Ça m’a pas mal aidé. En tous cas, j’ai pris énormément de plaisir à découvrir ce poste d’entraîneur."
Qu’est-ce qui a fait la force de ce groupe finalement ?
"Sa cohésion avant tout. Je savais quand je suis arrivé que l’important de la tâche qui m’était confiée était de fédérer tout le monde. Les joueurs ont adhéré en étant solidaires, avec toujours l’envie de s’arracher l’un pour l’autre. On n’avait peut-être pas la meilleure équipe, mais on avait le meilleur groupe."
A quoi doit-on s’attendre au mercato, coté départs ou arrêts comme coté arrivées ?
"Il n’y aura pas beaucoup de chamboulements au niveau arrivées-départs. Je vais d’abord discuter avec mes joueurs. On verra après."
Le mot de la fin pour toi…
"Je veux juste remercier les bénévoles, mon staff, les joueurs, Fred Marcon et surtout le président Lacand de m’avoir donné la chance de devenir entraîneur."
Propos recueillis par Bebeto RODRIGUEZ
"Le bilan est forcément positif. Je me suis juste rendu compte que c’était différent de l’autre côté de la barrière. Chose dont je ne me rendais pas forcément compte quand j’étais joueur. J’ai aussi demandé conseil à pas mal de gens. Ça m’a pas mal aidé. En tous cas, j’ai pris énormément de plaisir à découvrir ce poste d’entraîneur."
Qu’est-ce qui a fait la force de ce groupe finalement ?
"Sa cohésion avant tout. Je savais quand je suis arrivé que l’important de la tâche qui m’était confiée était de fédérer tout le monde. Les joueurs ont adhéré en étant solidaires, avec toujours l’envie de s’arracher l’un pour l’autre. On n’avait peut-être pas la meilleure équipe, mais on avait le meilleur groupe."
A quoi doit-on s’attendre au mercato, coté départs ou arrêts comme coté arrivées ?
"Il n’y aura pas beaucoup de chamboulements au niveau arrivées-départs. Je vais d’abord discuter avec mes joueurs. On verra après."
Le mot de la fin pour toi…
"Je veux juste remercier les bénévoles, mon staff, les joueurs, Fred Marcon et surtout le président Lacand de m’avoir donné la chance de devenir entraîneur."
Propos recueillis par Bebeto RODRIGUEZ
Romain REYNAUD
Né le 2 mars 83 à Saint-Etienne
Parcours joueur : AS Saint-Etienne, SC Schiltigheim, AS Yzeure, Vannes OC, FC Libourne-Saint-Seurin, AS Arles-Avignon, LB Chateauroux, KV Courtrai (Belgique), OH Louvin (Belgique), ASF Andrézieux
Parcours entraîneur : Hauts Lyonnais
Né le 2 mars 83 à Saint-Etienne
Parcours joueur : AS Saint-Etienne, SC Schiltigheim, AS Yzeure, Vannes OC, FC Libourne-Saint-Seurin, AS Arles-Avignon, LB Chateauroux, KV Courtrai (Belgique), OH Louvin (Belgique), ASF Andrézieux
Parcours entraîneur : Hauts Lyonnais