Jean-Michel PICOLLET (ent FC Limonest-Saint-Ddier)
« La situation actuelle est certes difficile mais il ne faut non plus verser dans le catastrophisme. On s'attendait à un début de saison compliqué après un préparation polluée par les absences, mais peut être aussi qu'on nous a vu trop beau aussi. Ce qui paradoxal, c'est qu'en comparant ce début de saison à celui de la dernière, j'estime que mis à part le non match contre Ain Sud, on est mieux dans le jeu. On se créé plus d'occasions que l'an dernier à la même période . Maintenant, notre manque de réalisme offensif conjugué à une désagréable impression que notre adversaire va nous crucifier à la moindre approximation nous amène à une période de doute et des résultats en deçà de nos attentes. Le sort semble en plus s'acharner sur nous avec une infirmerie qui n'a jamais été aussi remplie... Maintenant, il ne faut pas que cette situation devienne une fatalité. A nous, le staff, de trouver les ressorts qui nous feront rebondir et inverser cette situation : travailler plus et mieux, retrouver la confiance, garder l'esprit de groupe et la solidarité. J'ai confiance dans le groupe qui est travailleur et réceptif pour sortir de cette mauvaise passe très rapidement. »
« La situation actuelle est certes difficile mais il ne faut non plus verser dans le catastrophisme. On s'attendait à un début de saison compliqué après un préparation polluée par les absences, mais peut être aussi qu'on nous a vu trop beau aussi. Ce qui paradoxal, c'est qu'en comparant ce début de saison à celui de la dernière, j'estime que mis à part le non match contre Ain Sud, on est mieux dans le jeu. On se créé plus d'occasions que l'an dernier à la même période . Maintenant, notre manque de réalisme offensif conjugué à une désagréable impression que notre adversaire va nous crucifier à la moindre approximation nous amène à une période de doute et des résultats en deçà de nos attentes. Le sort semble en plus s'acharner sur nous avec une infirmerie qui n'a jamais été aussi remplie... Maintenant, il ne faut pas que cette situation devienne une fatalité. A nous, le staff, de trouver les ressorts qui nous feront rebondir et inverser cette situation : travailler plus et mieux, retrouver la confiance, garder l'esprit de groupe et la solidarité. J'ai confiance dans le groupe qui est travailleur et réceptif pour sortir de cette mauvaise passe très rapidement. »