Forcément, Gérard Giudice, le président de l’ES Trinité est marqué par les incidents qui ont émaillé sa rencontre de Coupe de France dimanche contre Saint—Etienne Cote Chaude (voir article de dimanche sur Monfoot69) : « dimanche soir, je voulais tout arrêter, explique celui qui préside le club du 8ème arrondissement de Lyon depuis 25 ans, après son père qui l’avait créé. Mais lundi matin, dés 9 heures, j’étais au stade. Nous avons 400 licenciés, une super école de foot, nos U15 jouent pour la première fois en ligue et nos seniors sont montés en Excellence (ndlr D1). Je ne peux pas plaquer tout ça. »
Quant aux incidents de dimanche, qui vont probablement coûter chers à l’ES Trinité, à minima l’élimination, dans le pire des cas une forte amende et une exclusion pour quelques années de la Coupe de France, le président explique : « Il y a eu des pétards et des fumigènes venant de la rue de la part de gens que nous ne connaissons pas. Nous ne sommes pas parvenus à canaliser ça. A la mi-temps, le délégué a estimé que les joueurs et les arbitres étaient en insécurité. Le match, qui se passait bien jusque-là, a été arrêté. Il n’y avait pas eu de problème avec l’équipe de Cote-Chaude, qui voulait d’ailleurs reprendre. Je peux comprendre et ne pas comprendre cette décision, mais c’est ainsi et nous allons être sanctionnés. »
B.R. (avec Le Progrès)
Quant aux incidents de dimanche, qui vont probablement coûter chers à l’ES Trinité, à minima l’élimination, dans le pire des cas une forte amende et une exclusion pour quelques années de la Coupe de France, le président explique : « Il y a eu des pétards et des fumigènes venant de la rue de la part de gens que nous ne connaissons pas. Nous ne sommes pas parvenus à canaliser ça. A la mi-temps, le délégué a estimé que les joueurs et les arbitres étaient en insécurité. Le match, qui se passait bien jusque-là, a été arrêté. Il n’y avait pas eu de problème avec l’équipe de Cote-Chaude, qui voulait d’ailleurs reprendre. Je peux comprendre et ne pas comprendre cette décision, mais c’est ainsi et nous allons être sanctionnés. »
B.R. (avec Le Progrès)
