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Si la coupe de France ne peut pas reprendre au mois de février, la FFF serait vraisemblablement contrainte de la continuer sans les clubs amateurs.
Ce jeudi, le Premier Ministre Jean Castex va donner de nouvelles indications pour la luette contre la pandémie de Covid-19. Depuis plusieurs semaines, la FFF travaille sur un scénario qui puisse permettre de jouer le sixième tour de coupe de France dès fin janvier. Il avait même été prévu une dérogation pour les clubs amateurs encore en lice afin qu’ils puissent s’entraîner normalement. « Cela paraît désormais peu probable » selon Foot Amateur. Des propos confirmés par Philippe Le Yondre auprès de nos confrères du Télégramme. « On ne s’attend pas à une reprise de l’entraînement avant le 20 janvier, ce qui signifierait un retour à la compétition fin février dans le meilleur des cas » a expliqué le président du District d’Ille-et-Vilaine, membre du bureau exécutif de la Ligue de Football Amateur (LFA).
« Au regard de la situation sanitaire actuelle, il est difficilement imaginable que le gouvernement lâche du lest pour les activités sportives, a-t-il confié au quotidien breton. Il y a aussi la question des vestiaires. À cette époque de l’année, faire sans, c’est compliqué. Clairement, nous sommes suspendus aux décisions du gouvernement. »
Le dirigeant a aussi évoqué la coupe de France et il estime que « si on ne peut pas la jouer en février, elle n’aura pas lieu car les pros ne vont pas pouvoir continuer à retarder leur calendrier. » Ce serait un sacré coup dur pour tous les clubs encore en lice puisque les qualifiés à l’issue du sixième tour doivent touches les premières dotations prévues par la FFF (7500 euros).
Ce jeudi, le Premier Ministre Jean Castex va donner de nouvelles indications pour la luette contre la pandémie de Covid-19. Depuis plusieurs semaines, la FFF travaille sur un scénario qui puisse permettre de jouer le sixième tour de coupe de France dès fin janvier. Il avait même été prévu une dérogation pour les clubs amateurs encore en lice afin qu’ils puissent s’entraîner normalement.
« Au regard de la situation sanitaire actuelle, il est difficilement imaginable que le gouvernement lâche du lest pour les activités sportives, a-t-il confié au quotidien breton. Il y a aussi la question des vestiaires. À cette époque de l’année, faire sans, c’est compliqué. Clairement, nous sommes suspendus aux décisions du gouvernement. »
Le dirigeant a aussi évoqué la coupe de France et il estime que « si on ne peut pas la jouer en février, elle n’aura pas lieu car les pros ne vont pas pouvoir continuer à retarder leur calendrier. » Ce serait un sacré coup dur pour tous les clubs encore en lice puisque les qualifiés à l’issue du sixième tour doivent touches les premières dotations prévues par la FFF (7500 euros).