Thomas, les têtes étaient-elles déjà à la Coupe samedi soir sur le terrain de l’AS Craponne, même inconsciemment ?
"Forcement. Nous avions le match de coupe de France dans un coin de nos têtes On ne joue pas des sixièmes tours chaque année. C'était un match spécial déjà car un "derby" et que l'on retrouvait des anciens joueurs de Méginand. Et puis, le fait de redescendre de son nuage et de se reconcentrer sur le championnat n'a pas été chose simple. Nous sommes bien rentrés dans notre match en marquant en première mi-temps sans parvenir à nous mettre à l’abri malgré les occasions. Réduits à dix, on a su rester solidaire et soudé pour ramener quelque chose de ce déplacement."
Si on te dis que le CS Méginand n’a aucune chance de passer dimanche prochain contre le FC2A Aurillac, tu réponds quoi ?
"Que la coupe de France a toujours son lot de surprises et que l’on le constate chaque année. Chaponnay-Marennes est bien passé face à Saint-Priest alors que l’écart était le même. Dans un match il peut se passer un tas de choses. Et nous sommes des compétiteurs avant tout. Quel que soit le niveau de l'adversaire, on rentre sur le terrain gagner. On se doit d'y croire et d'aller chercher le septième tour et peu importe le niveau de l'opposition."
Quatre niveaux vont vous séparer de vos adversaires. Mis à part bien évidemment tout donner, que faudra-t-il pour les gommer et réaliser l’exploit ?
"Il faudra faire preuve d'une grande solidarité et c’est justement notre force cette année. On devra jouer notre jeu et ne pas regarder nos adversaires. Je pense qu’il faudra aussi un brin de chance. Mais on devra la provoquer. Ce qu’on sait déjà, c’est que l'on aura nos supporters avec nous et que ce sera primordial : ils vont remettre le feu au stade comme contre Murette !"
"Forcement. Nous avions le match de coupe de France dans un coin de nos têtes On ne joue pas des sixièmes tours chaque année. C'était un match spécial déjà car un "derby" et que l'on retrouvait des anciens joueurs de Méginand. Et puis, le fait de redescendre de son nuage et de se reconcentrer sur le championnat n'a pas été chose simple. Nous sommes bien rentrés dans notre match en marquant en première mi-temps sans parvenir à nous mettre à l’abri malgré les occasions. Réduits à dix, on a su rester solidaire et soudé pour ramener quelque chose de ce déplacement."
Si on te dis que le CS Méginand n’a aucune chance de passer dimanche prochain contre le FC2A Aurillac, tu réponds quoi ?
"Que la coupe de France a toujours son lot de surprises et que l’on le constate chaque année. Chaponnay-Marennes est bien passé face à Saint-Priest alors que l’écart était le même. Dans un match il peut se passer un tas de choses. Et nous sommes des compétiteurs avant tout. Quel que soit le niveau de l'adversaire, on rentre sur le terrain gagner. On se doit d'y croire et d'aller chercher le septième tour et peu importe le niveau de l'opposition."
Quatre niveaux vont vous séparer de vos adversaires. Mis à part bien évidemment tout donner, que faudra-t-il pour les gommer et réaliser l’exploit ?
"Il faudra faire preuve d'une grande solidarité et c’est justement notre force cette année. On devra jouer notre jeu et ne pas regarder nos adversaires. Je pense qu’il faudra aussi un brin de chance. Mais on devra la provoquer. Ce qu’on sait déjà, c’est que l'on aura nos supporters avec nous et que ce sera primordial : ils vont remettre le feu au stade comme contre Murette !"
Dominique Cuperlu entouré d'Arnaud Serrette et de Willy Laviolette
Vous avez la chance de bénéficier des conseils de Dominique Cuperly lors de vos séances d’entraînement. Que vous apporte-t-il au quotidien et surtout, quel est son discours concernant ce match ?
"Dominique est un vrai atout pour le groupe senior. Il nous conseille et nous apporte son expérience. Il nous explique des choses simples qui nous permettent de gagner en confiance. Il gère essentiellement les entraînements et Arnaud (ndlr Serrette, l’entraîneur principal) prend le relais pour la gestion du groupe. En gros c'est un adjoint de luxe. Le discours des coachs sera basé sur le fait de ne pas se prendre la tête et de prendre du plaisir avant tout. Et ils ont raison car il se peut que nous n’ayons plus jamais l’occasion de jouer un sixième tour de coupe de France dans notre carrière. Il faut que tous, nous en prenions bien conscience."
A choisir, tu préférerais une qualification dans le jeu ou aux penaltys avec toi comme dernier tireur après avoir stoppé la tentative adverse précédente ?
"Même si le premier scénario serait magique, je n'ai pas envie d'avoir les honneurs chaque weekend (rires). Je préférerais donc une victoire dans le temps réglementaire. Car la coupe c'est bien, mais ça tire sur les organismes et le plus important reste le championnat. La semaine prochaine nous aurons deux matchs en quatre jours qu'il faudra bien négocier."
On rêve un peu. Ça serait quoi le scénario idéal ?
"(Rires). Une bicyclette de Chaduirsson en pleine lucarne sur un centre de Roumar à la dernière minute de jeu (ils se reconnaîtront). Non plus, sérieusement, un but d'entrée de jeu d’Idris Letirant et un coup-franc de Geoffrey Solaris à la quatre-vingtième pour conclure le match. Ça serait magnifique. J’ajouterais tirer l’AJ Auxerre pour le tour suivant, une équipe chère à Dom."
Et en cas de qualif’, tu la vois comment la troisième mi-temps ?
"Dans un premier temps, je vais prévenir mon chef qu'en cas de victoire dimanche, je poserais un jour de congé lundi. Les victoires sont souvent bien arrosées à Meginand. Il y a une bonne communion au stade avec tous les supporters, le groupe seniors et les membres du club qui font tout pour nous mettre dans de bonne conditions. Pourquoi pourquoi pas finir chez le coach... il a de confortables toilettes au cas ou ca finirait mal (rires)."
Recueillis par Bebeto RODRIGUEZ
"Dominique est un vrai atout pour le groupe senior. Il nous conseille et nous apporte son expérience. Il nous explique des choses simples qui nous permettent de gagner en confiance. Il gère essentiellement les entraînements et Arnaud (ndlr Serrette, l’entraîneur principal) prend le relais pour la gestion du groupe. En gros c'est un adjoint de luxe. Le discours des coachs sera basé sur le fait de ne pas se prendre la tête et de prendre du plaisir avant tout. Et ils ont raison car il se peut que nous n’ayons plus jamais l’occasion de jouer un sixième tour de coupe de France dans notre carrière. Il faut que tous, nous en prenions bien conscience."
A choisir, tu préférerais une qualification dans le jeu ou aux penaltys avec toi comme dernier tireur après avoir stoppé la tentative adverse précédente ?
"Même si le premier scénario serait magique, je n'ai pas envie d'avoir les honneurs chaque weekend (rires). Je préférerais donc une victoire dans le temps réglementaire. Car la coupe c'est bien, mais ça tire sur les organismes et le plus important reste le championnat. La semaine prochaine nous aurons deux matchs en quatre jours qu'il faudra bien négocier."
On rêve un peu. Ça serait quoi le scénario idéal ?
"(Rires). Une bicyclette de Chaduirsson en pleine lucarne sur un centre de Roumar à la dernière minute de jeu (ils se reconnaîtront). Non plus, sérieusement, un but d'entrée de jeu d’Idris Letirant et un coup-franc de Geoffrey Solaris à la quatre-vingtième pour conclure le match. Ça serait magnifique. J’ajouterais tirer l’AJ Auxerre pour le tour suivant, une équipe chère à Dom."
Et en cas de qualif’, tu la vois comment la troisième mi-temps ?
"Dans un premier temps, je vais prévenir mon chef qu'en cas de victoire dimanche, je poserais un jour de congé lundi. Les victoires sont souvent bien arrosées à Meginand. Il y a une bonne communion au stade avec tous les supporters, le groupe seniors et les membres du club qui font tout pour nous mettre dans de bonne conditions. Pourquoi pourquoi pas finir chez le coach... il a de confortables toilettes au cas ou ca finirait mal (rires)."
Recueillis par Bebeto RODRIGUEZ
Thomas VINCENT
Né le 20 juin 1993 à Sainte Foy les lyon
Job : Operateur de production chez Sanofi
Parcours : CASCOL, FC Val Lyonnais, CS CSMeginand
Né le 20 juin 1993 à Sainte Foy les lyon
Job : Operateur de production chez Sanofi
Parcours : CASCOL, FC Val Lyonnais, CS CSMeginand
